DISPOSITIONS APPLICABLES
 
AUX ZONES A URBANISER
CHAPITRE II

 

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE 1 AU

 

 

PREAMBULE

 

Vocation principale

 

Il s’agit d’une zone mixte d’urbanisation future à court terme.

 

Il existe à Bachy un risque de mouvements de terrain liés au desséchement des argiles.

 

 

ARTICLE 1 AU 01 - OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DES SOLS INTERDITES

 

Sont interdits :

 

-         La création d’établissements à usage d’activité industrielle,

 

-         La création de sièges d’exploitation agricole et de bâtiments d’élevage,

 

-         La création de terrains de camping et de caravaning et le stationnement isolé de caravanes,

 

-         L’ouverture de carrières,

 

-         Les installations établies depuis plus de 3 mois susceptibles de servir d’abri pour l’habitation ou pour tout autre usage et constituées par d’anciens véhicules désaffectés, de caravanes, mobil home, des abris autres qu’à usage public à l’exception des installations de chantier,

 

-         Les dépôts de vieilles ferrailles, de véhicules désaffectés, de matériaux de démolition, de déchets industriels ou domestiques,

 

-         Les éoliennes,

 

-         Les parcs d’attraction permanents, les stands de tir et les pistes de karting,

 

-         Les antennes de relais téléphoniques ou similaires hors bâtiments publics.

 

 

ARTICLE 1 AU 02 -  OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DES SOLS SOUMISES A CONDITIONS

 

Sont autorisés, dans la mesure où le financement de tous les équipements nécessaires à la réalisation de l’opération, qu’il s’agisse des équipements publics ou des équipements internes à l’opération est assuré conformément au Code de l’Urbanisme, sous réserve que la localisation ne compromette pas l’aménagement de l’ensemble de la zone et que le projet soit compatible avec les orientations d’aménagement :

-         -Les constructions à usage d’habitation,

-         -Les établissements à usage d’activités artisanales, commerciales, de bureaux ou de services comportant ou non des installations classées, dans la mesure où ils satisfont à la législation en vigueur les concernant et que, compte tenu des prescriptions techniques imposées pour pallier les inconvénients qu’ils présentent habituellement, il ne subsistera plus pour leur voisinage de risques pour la sécurité (tels qu’en matière d’incendie, d’explosion) ou de nuisances (telles qu’en matière d’émanations nocives, ou malodorantes, fumées, bruits, poussières, altération des eaux) de nature à rendre indésirables de tels établissements dans la zone,

-         Les bâtiments annexes et les garages à condition qu’ils soient liés à une habitation principale,

-         Les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif,

-         Les aires de stationnement ouvertes au public liées aux types d’occupation ou d’utilisation des sols autorisés.

 

 

ARTICLE 1 AU 03 -  CONDITION DE DESSERTE DES TERRAINS

 

Les caractéristiques des accès et des voiries doivent être soumises à l’avis du gestionnaire de la voirie.

 

1 – Accès

 

L'accès est la portion franchissable de la limite séparant l'unité foncière, sur laquelle est projetée une opération, de la voie d'accès ou de desserte publique ou privée ouverte à la circulation. Dans le cas d'une servitude de passage sur fonds voisin, l'accès est constitué par le débouché sur la voie. 

 

Tout terrain enclavé est inconstructible à moins que son propriétaire ne produise une servitude de réseau et  de passage de 4 mètres, instituée par acte authentique ou par voie judiciaire.

 

Les accès nécessaires aux constructions doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la sécurité, de la défense contre l’incendie et de la protection civile.

 

L’autorisation d’occupation ou d’utilisation des sols peut être subordonnée à l’obligation de se desservir, lorsque le terrain est riverain de plusieurs voies, à partir de la voie où la gêne pour la circulation sera la moindre.

 

2 – Voirie

 

Pour l'application des règles définies ci-dessous, la notion de voie s'apprécie au regard des deux critères suivants :

1/ la voie doit desservir plusieurs propriétés ou parcelles ou constructions principales (au minimum trois) et en ce sens permettre la circulation des personnes et des véhicules, même si cette voie est une impasse.

2/ la voie doit comporter les aménagements nécessaires à la circulation automobile, en ce sens qu'elle a vocation à être ouverte à la circulation générale même si la circulation automobile y est réglementée.

 

En conséquence, n'est pas considéré comme voie, le cheminement qui est soit partie intégrante de l'unité foncière, soit correspondant à une servitude de passage sur fonds voisins, et qui permet la desserte automobile d'une ou deux constructions principales situées en arrière plan, c'est à dire à l'arrière des constructions et parcelles riveraines de la voie publique ou privée de desserte.

 

Les terrains doivent être desservis par des voies publiques ou privées répondant à l’importance et à la destination de la construction ou de l’ensemble des constructions qui y sont édifiées.

 

Aucune voie ouverte à la circulation automobile en double sens susceptible d’être classée dans le Domaine Public ne doit avoir une largeur d’emprise inférieure à 8 mètres. La largeur de la chaussée ne doit pas être inférieure à 5 mètres. La voirie doit avoir une hauteur libre de 3,5 mètres. 

 

La largeur d’emprise des voies créées doit tenir compte de la taille de l’opération et de la situation de ces voies dans le réseau des voies environnantes actuelles ou futures.

 

Les voies privées nouvelles en impasse desservant plus de deux habitations doivent être aménagées dans leur partie terminale de telle sorte que les véhicules puissent faire aisément demi-tour. (Notamment ceux des services publics : lutte contre l’incendie, ordures ménagères).

 

Aucune voie privée ne doit avoir une largeur inférieure à 5 mètres.

 

Les voies en impasse doivent être conçues pour être prolongées sans destruction de bâtiments.

 

 

ARTICLE 1 AU 04 – CONDITION DE DESSERTE PAR LES RESEAUX

 

Les ouvrages réalisés dans le sol pour assurer la desserte par les réseaux devront être réalisés avec des matériaux susceptibles de ne pas altérer la qualité des eaux souterraines. Ils devront être installés à l’abri des chocs et donner toutes les garanties  de résistance aux actions mécaniques, chimiques ou physico-chimiques et garantir la meilleure étanchéité.

 

1 – Alimentation en eau potable

 

Pour recevoir une construction ou une installation nouvelle qui, par sa destination, implique une utilisation d’eau potable, un terrain doit obligatoirement être desservi par un réseau sous pression, ou tout autre dispositif technique présentant les caractéristiques suffisantes.

 

2 – Assainissement

 

Si les ouvrages publics sont de capacité insuffisante, le service d’assainissement pourra imposer la participation financière du requérant aux travaux de renforcement nécessaires

 

a) Eaux usées domestiques

 

Dans les zones d’assainissement collectif, il est obligatoire d’évacuer les eaux usées sans aucune stagnation et sans aucun traitement préalable par des canalisations souterraines, au réseau public, en respectant ses caractéristiques (système unitaire ou séparatif).

Dans les zones d’assainissement non collectif, le système d’épuration doit être réalisé en conformité avec la législation en vigueur. 

 

b) Eaux résiduaires des activités

 

L’évacuation des eaux usées liées aux activités autres que domestiques dans le réseau public d’assainissement est soumise aux prescriptions de qualité définies par la réglementation en vigueur et doit faire l’objet d’une convention avec le service gestionnaire du réseau d’assainissement. L’évacuation des eaux résiduaires au réseau public d’assainissement, si cela est autorisé, peut-être subordonné à un prétraitement approprié.

 

c) Eaux pluviales

 

Tout branchement doit faire l’objet d’une demande auprès des services compétents, au même titre qu’une demande de branchement d’eaux usées domestiques, comme le stipule le règlement d’assainissement.

 

Les eaux pluviales seront si nécessaire traitées par le biais de techniques alternatives telles que les puits d’infiltration, les noues, les chaussées drainantes et en dernier recours l’utilisation de système de stockage restitution à débit calibré.

 

L’utilisation de ces techniques fera l’objet d’une étude particulière visant à évaluer l’impact de l’infiltration et les conséquences sur le milieu naturel conformément à la réglementation en vigueur.

 

En l’absence de réseau, le constructeur doit réaliser les aménagements permettant le libre écoulement des eaux pluviales, conformément aux avis des services techniques intéressés et selon des dispositifs appropriés et proportionnés, afin d’assurer une évacuation directe et sans stagnation, conformément aux exigences de la réglementation en vigueur.

 

3 – Télécommunications / Electricité / Télévision / Radiodiffusion

 

Lorsque le réseau est enterré, le branchement en souterrain est obligatoire.

En domaine privé, la réalisation des branchements et les réseaux nécessaires à la distribution des bâtiments devra se faire en souterrain depuis le point de raccordement du réseau général jusqu’à la construction.

 

 

ARTICLE 1 AU 05 – SUPERFICIE MINIMALE DES TERRAINS CONSTRUCTIBLES

 

Si la surface ou la configuration d’un terrain est de nature à compromettre l’aspect ou l’économie de la construction ou la bonne utilisation des terrains voisins, le permis de construire est refusé ou subordonné à un remodelage parcellaire.

 

 

ARTICLE 1 AU 06 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX VOIES ET EMPRISES PUBLIQUES

 

L'application des règles ci-dessous s'apprécie par rapport aux voies publiques ou privées qui desservent la parcelle sur laquelle la construction est projetée.

Ces règles s'appliquent également à chaque terrain figurant sur un plan de division.

 

En cas de construction sur des terrains desservis par plusieurs voies, le recul s'apprécie par rapport à chacune des voies, indépendamment de la situation de l'accès. 

 

Tout ou partie des façades à rue des constructions doivent être implantées avec un recul minimum de 5 mètres par rapport à l’alignement des voies publiques ou limite d’emprise des voies privées existantes ou à créer. Toutefois le  long des piétonniers existants, à modifier ou à créer, les constructions doivent respecter un recul  de 2 mètres à partir de  la limite d’emprise de ce piétonnier.

 

Pour les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, les constructions peuvent être édifiées à l'alignement des voies publiques ou limite d'emprise des voies privées ou avec un recul minimum de 0,50m par rapport à ces voies.

Leur implantation sera effectuée en fonction des contraintes techniques et du respect de l’environnement immédiat et de la sécurité routière.

 

Toutefois, ces dispositions ne s’appliquent pas en cas de reconstruction à l’identique, après sinistre.  

 

 

ARTICLE 1 AU 07 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES SEPARATIVES

 

A l’intérieur d’une bande de 15 mètres comptée à partir de la limite d’emprise, les constructions doivent être édifiées

-         soit le long des limites séparatives;

-         soit avec un recul minimum de 4 mètres.

 

Au-delà de la bande des 15 mètres, les constructions ne peuvent être implantées le long des limites séparatives que :

-         Lorsqu’il est prévu d’adosser la construction projetée à un bâtiment sensiblement équivalent en hauteur en bon état, déjà contigu à la limite séparative.

Ou

-         Lorsqu’il s’agit de bâtiments dont la hauteur n’excède pas 3,20 mètres au droit de la limite séparative.

 

Si les constructions ne sont pas implantées en limites séparatives, le recul minimum est de 4 mètres.

 

Pour les abris de jardins, les abris à bûches, sans fondations et non attenants à l’habitation, une implantation à 1 mètre minimum de la limite séparative est possible à condition que la surface de l’abri soit inférieure ou égale à 12 m² d’emprise au sol et que sa hauteur soit inférieure ou égale à 2,50 mètres au faîtage.

 

Pour les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, les constructions peuvent être édifiées le long des limites séparatives ou observer un recul minimum de 0,50m par rapport à ces limites. Leur implantation sera effectuée en fonction des contraintes techniques et du respect de l’environnement immédiat et de la sécurité routière.

 

En bordure des fossés existants, en limite séparative, les constructions doivent respecter un recul minimum de 5 mètres à partir de l’axe de ce fossé, afin de pouvoir réaliser leur entretien (figurant sur le plan annexé au règlement).

 

 

ARTICLE 1 AU 08 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX AUTRES SUR UNE MEME PROPRIETE

 

Entre deux bâtiments non contigus, doit toujours être ménagée une distance suffisante pour permettre l’entretien facile des marges d’isolement et des bâtiments eux-mêmes ainsi que le passage et le fonctionnement du matériel de lutte contre l’incendie. Cette distance s’applique au bâtiment nouveau. Cette distance doit être au minimum de 4 mètres.

 

Cette distance est ramenée à 2 mètres lorsqu’il s’agit de la construction d’un bâtiment de 20 m² d’emprise au sol maximum et d’une hauteur au faîtage inférieure à 3 mètres.

 

 

ARTICLE 1 AU 09 – EMPRISE AU SOL DES CONSTRUCTIONS

 

L’emprise au sol maximale autorisée est de 80%.

 

L’emprise au sol des constructions ne peut excéder 35 % de l’unité foncière, pour les bâtiments à usage principal d’habitation et 80% pour les bâtiments à usage commercial et service.

 

 

ARTICLE 1 AU 10 – HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS

 

Les constructions à usage principal d’habitation individuelle ne doivent pas comporter plus  de trois niveaux aménageables : un rez-de-chaussée, un étage et des combles aménageables. (R+1+C).

 

La hauteur des constructions mesurée au-dessus du sol naturel avant aménagement ne peut excéder 9 mètres au faîtage.

 

 

ARTICLE 1 AU 11 – ASPECT EXTERIEUR DES CONSTRUCTIONS ET AMENAGEMENT DE LEURS ABORDS

 

1) Principe général

 

Les constructions et installations de quelque nature qu'elles soient doivent respecter l'architecture des bâtiments existants et le site ; elles doivent présenter une simplicité de volume et une unité d'aspect et de matériaux compatibles avec la bonne économie de la construction.

 

Les constructions et installations autorisées ne doivent nuire ni par leur volume, ni par leur aspect à l’environnement immédiat et aux paysages dans lesquels elles s’intégreront.

 

La cote altimétrique +- 0,000 mètre du rez-de-chaussée ne doit en aucun cas être supérieure à 0,800 mètre au-dessus du terrain naturel, avant aménagement.

 

L’édification de clôtures est soumise à déclaration (article L.441-2 et suivants du Code de l’Urbanisme).

Les panneaux solaires sont autorisés.

 

Sont interdits :

-         l'emploi à nu, en parement extérieur, de matériaux destinés à être recouverts d'un revêtement ou d'un enduit (briques creuses, carreaux de plâtre, parpaings…),

-         l’utilisation de matériaux dégradés, tels que parpaings cassés, tôles rouillées, …,

-         les bâtiments annexes sommaires, tels que clapiers, poulaillers, abris… réalisés avec des moyens de fortune,

-         les paraboles en façade sur rue.

 

2) Dispositions particulières

 

a) Constructions à usage d’habitation

 

Les murs extérieurs des constructions doivent être majoritairement réalisés en matériaux reprenant l’aspect de la brique de couleur dans la gamme des rouges, ou en maçonnerie enduite dans les tons blanc ou ocre, les soubassements étant plus foncés que la teinte principale.

L’utilisation d’autres matériaux, tels que le bois, la pierre, est autorisée dans la limite de 50% du total des surfaces.

 

Les toitures doivent comporter au moins deux versants et être couvertes de tuiles ou de matériaux reprenant l’aspect et la couleur de la tuile de couleur terre cuite naturelle rouge ou noire vernissée.

Les toitures des constructions principales auront une pente comprise entre 35° et 50°. Toutefois les toitures terrasses ou mono pentes peuvent être admises lorsqu’elles couvrent un maximum de 40% de la surface couverte.

La pente de toit des vérandas n’est pas réglementée.

Les lucarnes ou ouvertures intégrées à la pente du toit sans saillie ne pourront représenter plus du tiers de la longueur du toit.

 

Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent être traités en harmonie avec ceux de la construction principale.

 

Les transformations de façades doivent respecter les caractéristiques architecturales du bâtiment, notamment les rythmes verticaux, les proportions entre hauteur et largeur des ouvertures, les modénatures et décors. Les linteaux cintrés de briques doivent être maintenus.

 

Toutefois en cas d’extension ou de reconstruction à l’identique, après sinistre d’un bâtiment existant, l’emploi des matériaux déjà utilisés est autorisé.

 

b) Constructions annexes

 

Les murs et toitures des volumes annexes d’une surface supérieure à 12 m², doivent être traités en harmonie avec le bâtiment principal.

 

c) Bâtiments d’activités, de stockage et leurs annexes

 

Les murs extérieurs des constructions doivent être réalisés majoritairement en brique de couleur dans la gamme des rouges ou en tout autre matériau d’aspect s’intégrant dans l’environnement immédiat.

L’utilisation d’autres matériaux, tels que le bois, la pierre, est autorisée dans la limite de 40% du total des surfaces.

 

Les toitures des constructions à usage d’activité ou de stockage devront être couvertes de matériaux reprenant l’aspect et la couleur de la tuile.

Les toitures des constructions principales auront une pente comprise entre 15° et 50°. Toutefois les toitures terrasses ou monopentes peuvent être admises lorsqu’elles couvrent un maximum de 40 % de la surface couverte.

 

L’harmonie de ton entre les toitures et les façades est à respecter.

 

Toutefois en cas d’extension ou de reconstruction à l’identique, après sinistre d’un bâtiment existant, l’emploi des matériaux déjà utilisés est autorisé.

 

d) Clôtures

 

Pour les constructions nouvelles, les clôtures doivent être réalisées en harmonie avec la construction.

 

Les clôtures ne doivent en aucun cas gêner la circulation sur l’ensemble de la zone, notamment en diminuant la visibilité aux carrefours.

 

Toutes les clôtures sur rue et en limites séparatives ne peuvent dépasser 2 mètres de haut et elles doivent être constituées soit :

-         d’une haie vive éventuellement doublée d’un grillage,

-         de grilles,

-         d’un mur bahut, d’une hauteur maximale de 0,80 mètre constitué des mêmes matériaux que ceux de la construction principale surmonté ou non de grilles ou grillages.

 

En limite séparative arrière, un mur d’intimité peut être réalisé avec une hauteur de 2 mètres et sur 5 mètres de longueur, à compter de façade arrière.

 

 

 

 

ARTICLE 1 AU 12 – OBLIGATIONS EN MATIERE D’AIRES DE STATIONNEMENT

 

Le stationnement des véhicules correspondant aux besoins des constructions et installations doit être réalisé en dehors des voies publiques et trottoirs.

 

Pour les bâtiments à usage autre que l’habitat, sur chaque parcelle, des surfaces suffisantes doivent être réservées :

-         pour l’évolution, le chargement, le déchargement et le stationnement de la totalité des véhicules de livraison et de services,

-         pour le stationnement des véhicules du personnel.

 

Pour les nouvelles constructions à usage d’habitation, à l’exception des logements locatifs aidés, il sera exigé :

-         au minimum deux places de stationnement par logement.

-         Pour les logements locatifs financés avec un prêt aidé par l’Etat, il sera exigé une place de stationnement par logement.

 

 

ARTICLE 1 AU 13 – OBLIGATIONS EN MATIERE D’ESPACES LIBRES ET DE PLANTATIONS

 

Les clôtures végétales seront de préférence composées d’essences de la liste jointe en annexe.

 

Les plantations existantes doivent être maintenues ou remplacées par des plantations  de préférence composées d’essences de la liste jointe.

 

Les espaces libres de toute construction, circulation et stationnement doivent être aménagés en espaces verts (plantations, espaces verts…).

 

Les opérations d’aménagement d’habitations groupées doivent comporter au moins 10 % d’espace commun de détente réellement aménagés situés hors des voies publiques dont les deux tiers d’un seul tenant.

 

 

ARTICLE 1 AU 14 – COEFFICIENT D’OCCUPATION DES SOLS

 

Les possibilités d’occupation des sols sont celles qui résultent de l’application des articles 3 à 13.

 


 
CHAPITRE  III

 

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE 1 AUE

 

 

PREAMBULE

 

Vocation principale

 

Il s’agit d’une zone d’urbanisation future à des fins d’activités économiques artisanales, commerciales et tertiaires.

 

Il existe à Bachy un risque de mouvements de terrain liés au desséchement des argiles.

 

 

ARTICLE 1 AUE 01 - OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DES SOLS INTERDITES

 

Sont interdits tous types d’occupation non mentionnées à l’article 1AUE 02, y compris :

 

-         La création de sièges d’exploitation agricole et de bâtiments d’élevage,

 

-         La création de terrains de camping et de caravaning  et le stationnement isolé de caravanes lorsqu’il se poursuit pendant plus de 3 mois consécutif ou non,

 

-         L’ouverture de carrières,

 

-         Les éoliennes sauf éoliennes de pompage.

 

-         Les installations établies depuis plus de 3 mois susceptibles de servir d’abri pour l’habitation ou pour tout autre usage et constituées par d’anciens véhicules désaffectés, des abris autres qu’à usage public à l’exception des installations de chantier,

 

-         Les dépôts de vieilles ferrailles, de véhicules désaffectés, de matériaux de démolition, de déchets (tels que pneus usés, vieux chiffons, ordures…),

 

-         Les parcs résidentiels de loisirs,

 

-         Les parcs d’attraction permanents, les stands de tir et les pistes de karting.

 

 

ARTICLE 1 AUE 02 -  OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DES SOLS SOUMISES A CONDITIONS

 

Sont autorisés, dans la mesure où le financement de tous les équipements nécessaires à la réalisation de l’opération, qu’il s’agisse des équipements publics ou des équipements internes à l’opération est assuré conformément au Code de l’Urbanisme, et sous réserve que la localisation ne compromette pas l’aménagement de l’ensemble de la zone et que le projet soit compatible avec les orientations d’aménagement :

-         Les établissements à usage d’activités artisanales, de bureaux, de commerces ou de services comportant ou non des installations classées dans la mesure où ils satisfont à la législation en vigueur les concernant et que, compte tenu des prescriptions techniques imposées pour pallier les inconvénients qu’ils présentent habituellement, il ne subsistera plus pour leur voisinage de risques pour la sécurité (tels qu’en matière d’incendie, d’explosion) ou de nuisances (telles qu’en matière d’émanations nocives, ou malodorantes, fumées, bruits, poussières, altération des eaux) de nature à rendre indésirables de tels établissements dans la zone,

-         Les constructions à usage d’habitation destinées au logement des personnes dont la présence est liée au fonctionnement des équipements publics ou nécessaire pour assurer la direction, la surveillance, l’entretien et la sécurité des établissements, installations et services implantés dans la zone, à raison d’une habitation par lot avec une SHON maximale de 170 m²,

-         Les surfaces de vente dans la mesure où elles restent inférieures à 300 m²,

-         Les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif,

-         Les exhaussements et affouillements des sols, sous réserve qu’ils soient indispensables à la réalisation des types d’occupation ou d’utilisation des sols autorisés,

-         Les dépôts à l’air libre, à condition qu’ils soient masqués par des plantations.

 

 

ARTICLE 1 AUE 03 -  CONDITION DE DESSERTE DES TERRAINS

 

Les caractéristiques des accès et des voiries doivent être soumises à l’avis du gestionnaire de la voirie.

 

1 – Accès

 

L'accès est la portion franchissable de la limite séparant l'unité foncière, sur laquelle est projetée une opération, de la voie d'accès ou de desserte publique ou privée ouverte à la circulation. Dans le cas d'une servitude de passage sur fonds voisin, l'accès est constitué par le débouché sur la voie. 

 

Tout terrain enclavé est inconstructible à moins que son propriétaire ne produise une servitude de réseaux et de passage suffisante, instituée par acte authentique ou par voie judiciaire.

 

Les accès nécessaires aux constructions doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la sécurité, de la défense contre l’incendie et de la protection civile.

 

L’autorisation d’occupation ou d’utilisation des sols peut être subordonnée à l’obligation de se desservir, lorsque le terrain est riverain de plusieurs voies, à partir de la voie où la gêne pour la circulation sera la moindre.

 

Sur la voie Départementale, les groupes de garages individuels ou les aires de stationnement privées doivent être disposés sur le terrain de manière à ne présenter qu’un seul accès ou deux accès en sens unique.

 

2 – Voirie

 

Pour l'application des règles définies ci-dessous, la notion de voie s'apprécie au regard des deux critères suivants :

1/ la voie doit desservir plusieurs propriétés ou parcelles ou constructions principales (au minimum trois) et en ce sens permettre la circulation des personnes et des véhicules, même si cette voie est une impasse.

2/ la voie doit comporter les aménagements nécessaires à la circulation automobile, en ce sens qu'elle a vocation à être ouverte à la circulation générale même si la circulation automobile y est réglementée.

 

En conséquence, n'est pas considéré comme voie, le cheminement qui est soit partie intégrante de l'unité foncière, soit correspondant à une servitude de passage sur fonds voisins, et qui permet la desserte automobile d'une ou deux constructions principales situées en arrière plan, c'est à dire à l'arrière des constructions et parcelles riveraines de la voie publique ou privée de desserte.

 

Les terrains doivent être desservis par des voies publiques ou privées répondant à l’importance et à la destination de la construction ou de l’ensemble des constructions qui y sont édifiées.

 

Aucune voie ouverte à la circulation automobile en double sens susceptible d’être classée dans le Domaine Public ne doit avoir une largeur d’emprise inférieure à 8 mètres. La largeur de la chaussée ne doit pas être inférieure à 5 mètres. La voirie doit avoir une hauteur libre de 3,5 mètres. 

 

La largeur d’emprise des voies créées doit tenir compte de la taille de l’opération et de la situation de ces voies dans le réseau des voies environnantes actuelles ou futures.

 

Les voies privées nouvelles en impasse desservant plus de deux habitations doivent être aménagées dans leur partie terminale de telle sorte que les véhicules puissent faire aisément demi-tour. (Notamment ceux des services publics : lutte contre l’incendie, ordures ménagères).

 

Aucune voie privée ne doit avoir une largeur inférieure à 5 mètres.

 

Les voies en impasse doivent être conçues pour être prolongées sans destructions de bâtiments.

 

 

ARTICLE 1 AUE 04 – CONDITION DE DESSERTE PAR LES RESEAUX

 

Les ouvrages réalisés dans le sol pour assurer la desserte par les réseaux devront être réalisés avec des matériaux susceptibles de ne pas altérer la qualité des eaux souterraines. Ils devront être installés à l’abri des chocs et donner toutes les garanties  de résistance aux actions mécaniques, chimiques ou physico-chimiques et garantir la meilleure étanchéité.

 

1 – Alimentation en eau potable

 

Toute opération qui requiert une alimentation en eau doit être desservie et raccordée sur le réseau public de distribution d’eau potable par un branchement de caractéristiques suffisantes.

 

2 – Assainissement

 

a) Eaux usées domestiques

 

Dans les zones d’assainissement collectif, il est obligatoire d’évacuer les eaux usées sans aucune stagnation et sans aucun traitement préalable par des canalisations souterraines, au réseau public, en respectant ses caractéristiques (système unitaire ou séparatif).

Dans les zones d’assainissement non collectif, le système d’épuration doit être réalisé en conformité avec la législation en vigueur. 

 

b) Eaux résiduaires des activités

 

Sans préjudice de la réglementation applicable aux installations classées, l’évacuation des eaux usées liées aux activités autres que domestiques dans le réseau public d’assainissement est soumise aux prescriptions de qualité définies par la réglementation en vigueur et doit faire l’objet d’une convention avec le service gestionnaire du réseau d’assainissement. L’évacuation des eaux résiduaires au réseau public d’assainissement, si cela est autorisé, peut-être subordonné à un prétraitement approprié.

 

c) Eaux pluviales

 

Tout branchement doit faire l’objet d’une demande auprès des services compétents, au même titre qu’une demande de branchement d’eaux usées domestiques, comme le stipule le règlement d’assainissement.

 

Les eaux pluviales seront préférentiellement traitées par le biais de techniques alternatives telles que les puits d’infiltration, les noues, les chaussées drainantes et en dernier recours l’utilisation de système de stockage restitution à débit calibré.

 

L’utilisation de ces techniques fera l’objet d’une étude particulière visant à évaluer l’impact de l’infiltration et les conséquences sur le milieu naturel conformément à la réglementation en vigueur.

 

Si les ouvrages publics sont de capacité insuffisante, le service d’assainissement pourra imposer la participation financière du requérant aux travaux de renforcement nécessaires au déversement à l’égout des eaux de pluie.

 

En l’absence de réseau, le constructeur doit réaliser les aménagements permettant le libre écoulement des eaux pluviales, conformément aux avis des services techniques intéressés et selon des dispositifs appropriés et proportionnés, afin d’assurer une évacuation directe et sans stagnation, conformément aux exigences de la réglementation en vigueur.

 

3 – Télécommunications / Electricité / Télévision / Radiodiffusion

 

En domaine privé, la réalisation des branchements et les réseaux nécessaires à la distribution des bâtiments devra se faire en souterrain depuis le point de raccordement du réseau général jusqu’à la construction.

 

 

ARTICLE 1 AUE 05 – SUPERFICIE MINIMALE DES TERRAINS CONSTRUCTIBLES

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 1 AUE 06 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX VOIES ET EMPRISES PUBLIQUES

 

L'application des règles ci-dessous s'apprécie par rapport aux voies publiques ou privées qui desservent la parcelle sur laquelle la construction est projetée.

Ces règles s'appliquent également à chaque terrain figurant sur un plan de division.

 

En cas de construction sur des terrains desservis par plusieurs voies, le recul s'apprécie par rapport à chacune des voies, indépendamment de la situation de l'accès. 

 

Tout ou partie des façades à rue des constructions ou installations doivent être implantées avec un recul minimum de 5 mètres par rapport à la limite d’emprise des voies.

 

Tout ou partie des façades à rue des constructions ou installations doivent être implantées avec un recul minimum de 10 mètres par rapport à la limite d’emprise de la RD955.

 

Pour les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, les constructions peuvent être édifiées à l'alignement des voies publiques ou limite d'emprise des voies privées ou avec un recul minimum de 0,50m par rapport à ces voies.

Leur implantation sera effectuée en fonction des contraintes techniques et du respect de l’environnement immédiat et de la sécurité routière.

 

 

ARTICLE 1 AUE 07 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES SEPARATIVES

 

Les constructions doivent être implantées avec un retrait de 4 mètres minimum.

 

Les constructions et installations doivent être éloignées des limites des zones à vocation d’habitat, d’une distance minimale de 15 mètres.

 

Pour les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, les constructions peuvent être édifiées le long des limites séparatives ou observer un recul minimum de 0,50m par rapport à ces limites. Leur implantation sera effectuée en fonction des contraintes techniques et du respect de l’environnement immédiat et de la sécurité routière.

 

En bordure des fossés existants, en limite séparative, les constructions doivent respecter un recul minimum de 5 mètres à partir de l’axe de ce fossé, afin de pouvoir réaliser leur entretien (figurant sur le plan annexé au règlement).

 

 

ARTICLE 1 AUE 08 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX AUTRES SUR UNE MEME PROPRIETE

 

Entre deux bâtiments non contigus, doit toujours être ménagée une distance suffisante pour permettre l’entretien facile des marges d’isolement et des bâtiments eux-mêmes ainsi que le passage et le fonctionnement du matériel de lutte contre l’incendie. Cette distance s’applique au bâtiment nouveau. Cette distance est de 4 mètres minimum.

 

 

ARTICLE 1 AUE 09 – EMPRISE AU SOL DES CONSTRUCTIONS

 

L’emprise au sol des constructions ne peut excéder 60 % de l’unité foncière.

 

 

ARTICLE 1 AUE 10 – HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS

 

La hauteur des constructions ne doit pas excéder 10 mètres au faîtage pour les toitures à deux versants et 7 mètres pour les toitures terrasses.

 

 

ARTICLE 1 AUE 11 - ASPECT EXTERIEUR

 

Le permis de construire sera refusé ou ne sera accordé que sous réserve de l’observation de prescriptions spéciales si les constructions, par leur situation, leur architecture, leurs dimensions ou l’aspect extérieur des bâtiments ou ouvrages à édifier ou à modifier, sont de nature à porter atteinte au caractère ou à l’intérêt des lieux avoisinants, aux sites, aux paysages naturels ou urbains ainsi qu’à la conservation des perspectives monumentales.

 

 

a) Constructions à usage d’habitation

 

Les murs extérieurs des constructions doivent être majoritairement réalisés avec des matériaux reprenant l’aspect de la brique de couleur dans la gamme des rouges, ou en maçonnerie enduite dans les tons blanc ou ocre, les soubassements étant plus foncés que la teinte principale.

L’utilisation d’autres matériaux, tels que le bois, la pierre, est autorisée dans la limite de 50% du total des surfaces.

 

Les toitures doivent comporter au moins deux versants et être couvertes de tuiles ou de matériaux reprenant l’aspect et la couleur de la tuile de couleur terre cuite naturelle rouge ou noire vernissée.

Les toitures des constructions principales auront une pente comprise entre 35° et 50°. Toutefois les toitures terrasses ou mono pentes peuvent être admises lorsqu’elles couvrent un maximum de 40% de la surface couverte.

La pente de toit des vérandas n’est pas réglementée.

Les lucarnes ou ouvertures intégrées à la pente du toit sans saillie ne pourront représenter plus du tiers de la longueur du toit.

 

Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent être traités en harmonie avec ceux de la construction principale.

 

Les transformations de façades doivent respecter les caractéristiques architecturales du bâtiment, notamment les rythmes verticaux, les proportions entre hauteur et largeur des ouvertures, les modénatures et décors. Les linteaux cintrés de briques doivent être maintenus.

 

Toutefois en cas d’extension ou de reconstruction à l’identique, après sinistre d’un bâtiment existant, l’emploi des matériaux déjà utilisés est autorisé.

 

b) Constructions annexes

 

Les murs et toitures des volumes annexes d’une emprise supérieure à 12m², doivent être traités en harmonie avec le bâtiment principal.

 

c) Bâtiments d’activités, de stockage et leurs annexes

 

Les volumes et les matériaux utilisés pour toute construction doivent être choisis de manière à ce que l’aspect extérieur de la construction soit en harmonie avec celui des constructions environnantes.

Les constructions en sous-sol sont interdites.

Les parties visibles des soubassements sont également soumises aux règles de la zone.

 

Sont interdits, sur les parements extérieurs des constructions et sur les clôtures :

-         les matériaux dégradés (parpaings cassés, tôles rouillées…)

-         l’emploi à nu de matériaux destinés à être recouverts (briques creuses, parpaings…)

 

les matériaux autorisés pour les constructions sont soit des matériaux traditionnels (à titre d’exemple ; le bois, la brique, la tuile), soit des matériaux contemporains (les enduits non lissés peints ou teintés dans la masse, les bardages métalliques, les plaques béton à granulats apparent, le verre).

 

Les couvertures visibles doivent être traitées dans la même nuance de couleur que les murs.

Les toitures doivent être :

-         soit à deux pans comportant une pente comprise entre 15° et 50 ° ;

-         soit en toiture terrasse.

 

La simplicité et l’homogénéité des percements sur l’ensemble des façades et des étages doivent être respectées.

 

d) Clôtures

 

En front à rue, les clôtures doivent être composées de grille ou grillage éventuellement doublée d’une haie.

 

Les clôtures doivent être réalisées en harmonie avec la construction.

 

Les clôtures ne doivent en aucun cas gêner la circulation sur l’ensemble de la zone, notamment en diminuant la visibilité aux carrefours.

 

 

ARTICLE 1 AUE 12 – OBLIGATIONS EN MATIERE D’AIRES DE STATIONNEMENT

 

Le stationnement des véhicules correspondant aux besoins des constructions et installations doit être réalisé en dehors des voies publiques.

De manière générale, les aires de stationnement et d’évolution devront être situées à l’intérieur des parcelles.

 

Sur chaque parcelle, des surfaces suffisantes doivent être réservées :

-         pour l’évolution, le chargement, le déchargement et le stationnement de la totalité des véhicules de livraison et de services,

-         pour le stationnement des véhicules du personnel et des visiteurs.

 

 

ARTICLE 1 AUE 13 – OBLIGATIONS EN MATIERE D’ESPACES LIBRES ET DE PLANTATIONS

 

Les dépôts, les citernes de gaz liquéfié ou à mazout et installations similaires, les aires de stockage extérieures, décharges et autres installations techniques doivent être masqués par des écrans de verdure.

 

De préférence, des plantations composées d’essences de la liste jointe doivent accompagner les constructions, afin de permettre une intégration paysagère renforcée. (Voir liste en annexe)

 

Les espaces libres de toute construction ou occupation, y compris les talus résultant des exhaussements, doivent être constitués soit d’un tapis végétal (prairie, gazon, couvre-sol), soit d’espaces plantés d’arbres et arbustes sous forme de bosquet.

 

Les marges de recul et d’isolement par rapport aux limites de zones devront comporter des espaces verts avec des rideaux d’arbres de haute tige et buissons.

 

Les plantations existantes doivent être maintenues ou remplacées par des plantations d’essences localement répandues. (Voir liste en annexe).

 

 

ARTICLE 1 AUE 14 – COEFFICIENT D’OCCUPATION DES SOLS

 

Les possibilités d’occupation des sols sont celles qui résultent de l’application des articles 3 à 13.

 


 

CHAPITRE IV

 

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE 2 AU

 

 

PREAMBULE

 

Vocation principale

 

Il s’agit d’une zone à urbaniser mixte, non équipée actuellement réservée pour une urbanisation future à moyen ou long terme. L’ouverture à l’urbanisation de cette zone nécessite une modification du P.L.U.

 

Il existe à Bachy un risque de mouvements de terrain liés au desséchement des argiles.

 

ARTICLE 2 AU 01 - OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DES SOLS INTERDITES

 

Toutes les constructions, installations et occupations, non autorisées à l’article 2.

 

 

ARTICLE 2 AU 02 -  OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DES SOLS SOUMISES A CONDITIONS

 

-                     Les installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectifs sous réserve de ne pas compromettre l’urbanisation future de la zone.  

 

 

ARTICLE 2 AU 03 -  CONDITION DE DESSERTE DES TERRAINS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 04 – CONDITION DE DESSERTE PAR LES RESEAUX

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 05 – SUPERFICIE MINIMALE DES TERRAINS CONSTRUCTIBLES

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 06 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX VOIES ET EMPRISES PUBLIQUES

 

Pour les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, les constructions peuvent être édifiées à l'alignement des voies publiques ou limite d'emprise des voies privées ou avec un recul minimum de 0,50m par rapport à ces voies. Leur implantation sera effectuée en fonction des contraintes techniques et du respect de l’environnement immédiat et de la sécurité routière.

 

 

 

 

ARTICLE 2 AU 07 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES SEPARATIVES

 

Pour les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, les constructions peuvent être édifiées le long des limites séparatives ou observer un recul minimum de 0,50m par rapport à ces limites. Leur implantation sera effectuée en fonction des contraintes techniques et du respect de l’environnement immédiat et de la sécurité routière.

 

 

ARTICLE 2 AU 08 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX AUTRES SUR UNE MEME PROPRIETE

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 09 – EMPRISE AU SOL DES CONSTRUCTIONS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 10 – HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 11 – ASPECT EXTERIEUR DES CONSTRUCTIONS ET AMENAGEMENT DE LEURS ABORDS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 12 – OBLIGATIONS EN MATIERE D’AIRES DE STATIONNEMENT

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 13 – OBLIGATIONS EN MATIERE D’ESPACES LIBRES ET DE PLANTATIONS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AU 14 – COEFFICIENT D’OCCUPATION DES SOLS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 


 

CHAPITRE V

 

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE 2 AUE

 

 

PREAMBULE

 

Vocation principale

 

Il s’agit d’une zone à urbaniser à vocation d’activités économiques artisanales et tertiaires, non équipée actuellement réservée pour une urbanisation future à long terme. L’ouverture à l’urbanisation de cette zone nécessite une modification du P.L.U.

 

Il existe à Bachy un risque de mouvements de terrain liés au desséchement des argiles.

 

 

ARTICLE 2 AUE 01 - OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DES SOLS INTERDITES

 

Toutes les constructions, installations et occupations, non autorisées à l’article 2.

 

 

ARTICLE 2 AUE 02 -  OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DES SOLS SOUMISES A CONDITIONS

 

-                     Les installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectifs sous réserve de ne pas compromettre l’urbanisation future de la zone. 

 

 

ARTICLE 2 AUE 03 -  CONDITION DE DESSERTE DES TERRAINS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 04 – CONDITION DE DESSERTE PAR LES RESEAUX

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 05 – SUPERFICIE MINIMALE DES TERRAINS CONSTRUCTIBLES

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 06 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX VOIES ET EMPRISES PUBLIQUES

 

Pour les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, les constructions peuvent être édifiées à l'alignement des voies publiques ou limite d'emprise des voies privées ou avec un recul minimum de 0,50m par rapport à ces voies. Leur implantation sera effectuée en fonction des contraintes techniques et du respect de l’environnement immédiat et de la sécurité routière.

 

 

 

 

ARTICLE 2 AUE 07 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES SEPARATIVES

 

Pour les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, les constructions peuvent être édifiées le long des limites séparatives ou observer un recul minimum de 0,50m par rapport à ces limites. Leur implantation sera effectuée en fonction des contraintes techniques et du respect de l’environnement immédiat et de la sécurité routière.

 

 

ARTICLE 2 AUE 08 – IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX AUTRES SUR UNE MEME PROPRIETE

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 09 – EMPRISE AU SOL DES CONSTRUCTIONS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 10 – HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 11 – ASPECT EXTERIEUR DES CONSTRUCTIONS ET AMENAGEMENT DE LEURS ABORDS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 12 – OBLIGATIONS EN MATIERE D’AIRES DE STATIONNEMENT

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 13 – OBLIGATIONS EN MATIERE D’ESPACES LIBRES ET DE PLANTATIONS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 

 

ARTICLE 2 AUE 14 – COEFFICIENT D’OCCUPATION DES SOLS

 

Il n’est pas fixé de règle.

 


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